Saint-Menges

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Menges
Saint-Menges
Église de Saint-Menges.
Blason de Saint-Menges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Sedan
Intercommunalité Ardenne Métropole
Maire
Mandat
Roger Watelet
2020-2026
Code postal 08200
Code commune 08391
Démographie
Gentilé Saint-Mengeois
Saint-Mengeoises [1]
Population
municipale
938 hab. (2021 en diminution de 5,25 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 26″ nord, 4° 55′ 33″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 416 m
Superficie 12,21 km2
Unité urbaine Sedan
(banlieue)
Aire d'attraction Sedan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sedan-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Menges
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Menges
Géolocalisation sur la carte : Ardennes
Voir sur la carte topographique des Ardennes
Saint-Menges
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Saint-Menges
Liens
Site web http://www.saint-menges.fr

Saint-Menges est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Donchery, Fleigneux, Floing et Glaire.

Carte de la commune.
Communes limitrophes de Saint-Menges
Vresse-sur-Semois
(Drapeau de la Belgique Belgique)
Donchery Saint-Menges Fleigneux
Glaire Floing

Située au nord-est du département, la commune est traversée par la RD 5 ainsi que la RD 6 et la RD 29. Le territoire couvre une surface de 1221 hectares.

L'amplitude entre le point le plus haut (416 m) à la frontière belge et le point le plus bas (150 m), vallée de la Meuse, est de 266 mètres. Au-delà de 325 m, le territoire est couvert par la forêt.

Saint-Menges se situe sur un replat entre 175 et 215 m.

Elle est traversée par la Claire.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 985 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzy », sur la commune de Douzy à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Menges est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sedan, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[12] et 25 118 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sedan, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,5 %), prairies (27,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), zones urbanisées (4,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Capella de Sancto Memmio en 1180, Saint Mange en 1291[18].

Son nom vient de saint Memmie[19], évêque de Châlons, au IIIe siècle. Saint Menges ou saint Memmie, en latin saint Memmius, est romain de naissance. Envoyé en Gaule, il prêche l’Évangile à Châlons, aujourd'hui Châlons-en-Champagne.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d'Union[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 526, Saint-Menges fait partie de la donation faite par saint Remi à Clodoald[21].

En 1259, Saint-Menges est cité au concordat de Francheval au nombre des villages indivis entre l’archevêque de Reims et l’évêque de Liége[21].

En 1573, une cour souveraine est installée à Saint-Menges, les princes souverains d’Arches et de Sedan étant convenus de se partager les droits seigneuriaux. Ce mini État de Saint-Menges adopte un sceau et une devise « Concordia ducum »[21].

Saint-Menges, implantée aux portes de la principauté souveraine de Sedan, est la cible de bandes armées, pillée et brûlée par les impériaux en 1623, guerre de Trente Ans puis des guerres de Religion quand les princes de Sedan deviennent calvinistes en 1563.[Quand ?]. En 1642, la principauté est rattachée à la France et le traité de Rueil en garanti le libre culte protestant. La ville forme une milice bourgeoise de cinquante hommes qui refuse, en 1666 l'ouverture des portes à l'intendant de Metz et à ses hommes qui se rendaient aux Pays-Bas.

En 1683, un arrêt du du Conseil d'État supprime l'exercice de la Religion réformée dans toutes les anciennes Terres-Souveraines, Saint-Menges en fait partie. L’église Saint-Memmie (XIIe - XVIIIe siècles) est une église fortifiée, refuge des habitants.

Saint-Menges souffre également de sa position à la frontière durant les trois conflits franco-allemands successifs.

Le premier , durant le siège de Sedan, les troupes allemandes attaquent le village et s'en emparent après un rude combat, parachevant l'encerclement des forces françaises[22].

En , un combat de quelques heures opposent des tirailleurs marocains installés dans la tour fortifiée du village à un escadron de uhlans arrivant de Sugny[21].

Le , lors de la bataille de France au cours de la Seconde Guerre mondiale, une maison forte de Saint-Menges, de la taille d'un pavillon, qui fait partie d'une vingtaine de constructions similaires implantées au cœur des bois et construites pour ralentir et jalonner l'avance allemande vers la ligne principale de résistance (la Meuse), est attaquée par les forces allemandes de la 1re Panzerdivision de Friedrich Kirchner. Ses cinq occupants sont les premiers morts recensés sur le sol français. Cette attaque est un des prémices de la percée de Sedan[23]. La commune est alors prise par la division allemande[24]. Saint-Menges est le lendemain matin tenue sous le feu de l'artillerie française (principalement du 110e régiment d'artillerie lourde hippomobile) qui tire sur les concentrations de troupes allemandes[25], lesquelles se préparent à franchir la Meuse.

Le nom de la place de Saint-Menges évoque également un des premiers résistants ardennais, Robert Charlier[26].

À l'image du Pays sedanais, Saint-Menges disposa un temps d'une filature.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1869   Hector Hyacinthe Brincourt    
1873   Prosper Péroche    
1876   Herbulot[27]    
Mars 1971 mars 2001 Gédéon Maqua PCF  
Mars 2001 2005 Hervé de Decker SE  
Septembre 2005 mars 2008 Bernard Giboux SE  
Mars 2008 En cours
(au 25 mai 2020)
Roger Watelet[28],[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Professeur
Réélu pour le mandat 2014-2020[30]

Liste des prêtres

- Maistre Jean Chenot, né vers 1600 et décédé le , premier prêtre et curé de Saint-Menges depuis la séparation faîte de l'église de Saint-Menges d'avec celle d'Yge.

- Maistre Jean Jacquesson, prêtre et curé en .

- Hubert Gabriel, vicaire en .

- Jean-Nicolas Marteau, curé en .

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 938 habitants[Note 4], en diminution de 5,25 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0271 0081 0471 1731 4061 5961 6451 6911 695
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 9892 0182 0181 9351 8381 7181 6961 5461 430
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 3631 1481 1961 1551 1389451 0351 1541 133
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
1 0589769649961 0311 0251 061999947
2021 - - - - - - - -
938--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Menges compte 1031 personnes au recensement de 2004. Depuis 1999, la population a augmenté de 35 personnes soit une progression de 3,5 %. Le taux de chômage est de 15,6 % et il y a 73,2 % de propriétaires. Majoritairement ouvrière la population de Saint-Menges a une longue tradition socialiste. Les résultats des élections présidentielles de 2007 et de 2012 ont confirmé cette orientation en donnant au deuxième tour 58,49 % pour Ségolène Royal contre 41,51 % pour Nicolas Sarkozy ; 65,31 % à François Hollande contre 34,69 % à son rival.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Site géologique : situé à proximité du Moulin (régulièrement visité par les étudiants de l'université de Reims-Champagne-Ardenne)
  • Oratoire de Saint-Menges.
  • Vestiges du château de Saint-Menges.
  • Lavoir Saint-Menges et sa fontaine, lieudit le Maupré.
  • Église Saint-Memmie de Saint-Menges. Durant la dernière décennie du XIXe siècle et les premières du XXe siècle, un pèlerinage se tient à Saint-Menges[35].
  • Voie romaine : le territoire est traversé dans sa partie nord par une voie romaine appelée autrefois « chemin des Romains », maintenant voie de Sugny ; cette voie est presque recouverte à la suite d'un affaissement de terrain.
  • Maison forte de Saint-Menges : attaquée le [36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Saint-Menges

Les armes de Saint-Menges se blasonnent ainsi :

De gueules à la foi alésée de carnation parée de sable[38].

Football[modifier | modifier le code]

Le village dispose d'un club de football baptisé Union Sportive de Saint-Menges (USSM) fondé en 1925 et établi au bord de la Meuse au stade Jean-Alaime. Évoluant en vert et rouge et ayant pour symbole une "bourrique", l'équipe fanion est promue en promotion de première division (D3) à la fin de la saison 2012-2013, l'année 2015-2016 est celle d'une nouvelle ascension, historique, en 1re division Ardennes (D2). La première victoire est enregistrée le . Nouveau fait d'armes, le , l'USSM joue pour la première fois les 1/8e de finale de la coupe Roger Marche et termine, la même année, à la 7e place du championnat, totalisant 28 points, dont 18 glanés lors de la phase retour (7 victoires, 7 nuls, 8 défaites).

En 2018-2019, l'USSM joue pour la troisième année consécutive en 1re division Ardennes, devenue D2 district, à cette occasion le rouge (re)devient la couleur dominante.

Depuis 2019-2020, l'USSM joue à nouveau en D3 district.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Ardennes », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Menges et Douzy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Sedan », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3, Librairie Droz, , 1870 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 1565
  19. Antoine Philippe Houzé, Etude sur la signification des noms de lieux en France, Librairie Ve Hénaux, , 140 p. (lire en ligne), p. 127
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Menges », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. a b c et d « Le village - Historique », Commune de Saint-Menges (consulté le ).
  22. Wilhelm Rüstow, Guerre des frontières du Rhin 1870-1871, Volume 1, vol. 1, Librairie Dumaine, , 443 p. (lire en ligne), p. 324-332
  23. « Une maison contre les Panzer », Riches Heures, (consulté le ).
  24. Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 203-204
  25. Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 237
  26. a et b « Martyrologe de la résistance ardennaise », Ardennes tiens ferme, site consacré à la résistance ardennaise (consulté le ).
  27. Almanach historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, 1877, p241.
  28. Conseil général des Ardennes consulté le 23 juin 2008 (fichier au format PDF)
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. « Sans surprise, Roger Watelet a été réélu maire », La Semaine des Ardennes, no 238,‎ , p. 19 (ISSN 0753-3454)
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Christine Martin, Pèlerinages d'Ardenne méridionale, Pierre Mardaga éditions, , 169 p. (ISBN 2-87009-426-4, lire en ligne), p. 41
  36. « Saint-Menges 12 mai 1940 : ils se souviennent », Journal L'Union,‎ (lire en ligne)
  37. Voir L'Histoire du socialisme dans les Ardennes.
  38. « Blason de Saint-Menges », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :